~Présentation de Sawako Aya~

•Comment avez-vous connus le forum?
J'ai connus ce forum grâce a Ryu Magatsu

•Nom :
Un nom ? Vous devez sans doute parlez de celui-là : Sawako. Seul personne au monde ninja a porté ce nom prétendu malfaisant. Un nom auquel notre cher kunoichi se passerait bien.

•Prénom :
Aya, dernier mot de sa mère…Aya connu sous le nom de beauté sauvage dans la langue française.
Keito…le nom donner à son tigre le jour de leurs rencontres…Keito !

•Age :
Après tous peu importe l’âge d’une personne…mais d’après les informations reçus la jeune femme en question aurait 18ans 3h 22minute et3seconde jour pour jour, où devrais-je dire seconde pour seconde.
Quand à son tigre il s’avère avoir 9ans et rempli de la fraicheur de la jeunesse !

•Description Physique :
Le physique, toujours cela le physique ! Nous ninja de ce monde nous nous devons d’être connus sous diverses apparences. Et puis surtout nous, nous devons de savoir que la beauté extérieure est bien indifférente et inférieur à la beauté intérieure. Cependant je me dois de décrire la jeune femme que je fais vivre à travers de simple écriture. C’est sans une certaine modestie que je m’avance en disant que l’on ne peut guerre être indifférente à sa beauté des plus naturelle. En effet, il est vrais qu’Aya ne fais rien pour faire paraitre la beauté qu’elle dégage, un simple coup de brosse des plus traditionnel le matin suffit amplement, vêtu de vêtements qui n’ont comme rôle que de sentir libre dans les mouvements et non mettre ne valeur les formes que se doivent d’avoir toute femme en ce monde.

Son visage…son regard, un visage aux traits fins et bien répartis, composer d’une peau ne pouvant être qualifié de mat ni de purement pale, une peau simplement beige comme la plupart des individus. Un crâne orner de long cheveux couleur de l’enfer, d’un noir plus sombre que les ailles de la nuit sans lune, lisse et brillant, disposer derrières des oreilles à peine visible, quelques mèches quelque peu rebelle ornant un front alors cacher. Voici ces cheveux faisant une grande partie de son charme, tous comme ces yeux toujours inexpressif, avide de tous sentiments humains, plonger dans un monde inconnu, d’un bleu lapis lazuli se tournant légèrement vers le noir. Contourné pas des cils d’une grande finesse, et de sourcils paraissant avoir de longue heures d’attention à leurs égards. Une bouche des plus fines, entourées de fines lèvres pulpeuse d’un rouge vif écarlate, et un nez lui aussi d’une finesse rare.

Son corps aux lignes courbe et fine est des plus convoités, sa taille n’est ni grande ni petite, disons une taille moyenne si cela adhère a vos exigences, quand a son poids il n’est guerre mince à en avoir de la pitié, ni corpulent bien au contraire. Sa carrure n’est pas bien musclée et peut faire qu’un adversaire la sous-estime, ce qu’elle considère comme une force. Ces épaule ne sont guerre rabaissé, ni carré. Mais se corps qui s’avérerait être un vrai atout dans la vie quotidienne est cacher par des vêtements des plus traditionnel pour tous ninja, essentiellement des bandelette la recouvrant de toute part mais laissant ces épaule et ces bras, à partir de ces coudes, dénudées et en total liberté de mouvement, rouge ou encore blanc, resserrais par un ceinture d’un noir plus sombre que le noir en lui-même, permettant ainsi de rendre invisible les protections dissimulés sous celui-ci. En effet quelques protections invisible orne et est en contact avec sa peau, notamment aux chevilles, principalement la droite qui sait toujours avéré être d'une grande fragilité, ainsi que ces coudes où encore bien évidemment ces genoux. Le long de son dos se trouve un long et fin katana, trouver lors d'une mission complexe et périlleuse, en ayant appris a le manier a la perfection, Aya tiens son katana telle une maître, mais ce n'est guerre le cas. Les protection de ces mains sont doublé par du tissu léger mais quelque peu solide, et visible de l'adversaire, quel honte y a-til a être prudent? De plus le bas de son corps, c'est à dire au dessous du bassin, est constituer d'une sorte de jupe de tissu noir voletant dans le vent, même tissu disposer a ces mains, celui-ci protège les bandelettes ainsi que les armes ninja qu'elle posséde tel kunaï ou shuriken.

Son tigre l’accompagnant partout est des plus impressionnant, sa taille identique a celle de sa maitresse, son poids nettement supérieur même si cela reste bien correcte pour un tigre de son âge. Son pelage aux divers couleurs, des couleurs vifs et chaudes, est composer de très nombreux poils recouvrant en sa totalité le corps de celui-ci, des poils fin et doux, sans aucun doute pour donner envie de le caresser davantage. Ces yeux perçant sont d’une couleurs indéfinissable, d’un or se tournant vers un transparent des plus brillant, des coussinets son disposer sur la face cacher de ces pattes de la taille d’un enfant tout entier, une longue queues orne son arrière train relever, et son allure de gentleman révèle toute sa musculature bien développer. Keito est sans aucun doute le roi des félins !

•Description Morale :
Le caractère, où tous simplement connu sous le nom de mental, voila une description qui vaut la peine d’être lus attentivement, car sa reflète la personnalité du personnage imaginaire, c’est essentiel d’avoir une identité personnel pour apprendre à connaitre ces semblables en premier lieu ! Quand au caractère de la jeune femme que je fais vivre à travers un clavier c’est avec une certaine appréhension que j’avoue que son caractères n’est pas des plus distrayant ou original, de plus il est des plus complexes et très contrastes. Pour vous menez sur la voix voici ici quelques témoignages des villageois habitants le merveilleux village qu’est Suna : « Aya…a cette fille ! Oui je la connais, elle est très effacé au village, elle peut même être juste a coter de nous sans qu'on la remarque, d’ailleurs mon fils pleure dès qu’il la croise, son regard et froid et son insociabilité incompréhensible. Je n’ai pas envi de la connaitre, elle me dit rien, et même si elle est ninja au village elle ferrait mieux e s’en allé ! » la plupart des témoignages se base sur sa froideur et son insociabilité, en voici un bel exemple {↑}, mais nous sommes troublé par la différence entre cette description et celle qui suit, faite d’un jeune homme assez proche de la jeune femme en question : « Aya, oui je la connais très bien même, sous ces aires de brut ou d’insociable c’est une vrais sentimentale et sensible ! ». Quel est donc la vérité, la voici :

Aya est, où devrais-je plutôt dire parait, insociable, et son regard glacial suffit a vous glacez le sang. Mais disons que c’est une sorte de défi, car il s’avère que lorsque on cherche a mieux la connaitre elle peut devenir bien différente, et si une confiance est noué elle risquerait sans aucune appréhension sa vie pour la personne a qui elle fait entièrement confiance. Cependant il faut être d’une grande patience pour noué un lien avec cette jeune kunoichi, et aussi être motivé car le moindre geste peut tous remettre en question, du jour au lendemain elle peut soudainement vous défiez et vous tuer sans l’ombre d’une hésitation. Mais il faut savoir que lorsque l’amitié est brisé il est trop tard pour revenir en arrière, elle tut et ne pardonnera jamais l’erreur commise ! Mais au fond derrière cette ère qui parait presque brut c’est une femme fragile et ronger par le désarroi, que la vie n’a pas gâter, de peur de faire peur aux êtres qui pourrait lui être cher elle reste souvent dans son coins, pleurant souvent dans des coins inconnu ! Pouvant aussi faire preuve d’une joie de vivre méconnaissable dans les meilleurs moments, lorsque l’âge de la jeunesse l’hante de nouveau.

Mystérieuse, posé, calme, ayant une intellectualité des plus courantes, voila en quelques mots sa définition. Durant un combat Aya n’est guerre du genre a foncer tête baisser, elle analyse le moindre bruit, la moindre brindille susceptible d’être suspecte, et lorsqu’elle attaque elle est quasiment sur de pouvoir gagner ! La patience n’est cependant pas une de ces qualité, bien au contraire, l’impatience qu’elle dégage est impressionnantes et ne correspond pas du tous au reste de son caractère. Sa capacité d’analyse est nettement supérieur à la moyenne contrairement au contrôle de ces émotions qui peut s’avérer être une vrais calamité, en effet très vite prise de pulsion meurtrière lors d’un combat s’avérant être distrayant la jeune femme a un mal fou a se contrôler et peu alors tuer ces adversaire dans d’atroce douleur, et très bien finir par ces propres amis ! C’est aussi pour cette raison qu’elle est bien souvent seul, les missions en équipe la décourage et la lasse facilement, elle estime qu’une mission en solitaire est bien plus divertissant. Cependant elle espère un jour, que quelqu’un arrivera peut-être à la sauver de l’emprise des ténèbres qui l’hante depuis déjà tant d’année !

Keito est tous aussi calme et poser, beaucoup plus attentionné il ne refusera jamais une caresse ou une preuve d’affection, ni l’occasion d’en faire une. Lors d’un combat il peut très bien être dans un état d’esprit concentré et sérieux, ou encore faire le clown de service. La gourmandise est son point faible, il mangerait n’importe quoi est ne se soucie guerre des conséquences, allant vers la personne qui lui tant la main pour une caresse ou une simple pomme.

•Histoire:

1• Naissance regrettable

Le soleil tantôt présent, et a son apogée, s’effaça subitement, cacher par de gros nuages d’un léger noir suffisant a laissé le monde ninja dans l’obscurité ténébreuse de l’enfer. La pluie tomba a grand flots, s’affalant sur le sol devenu mou et repoussant, aucun village ne fut épargner par ce changement brusque du monde encore inconnue a l’homme, le ciel. Ni même le village tristement célèbre pour la chaleur, qui y est abondante, s’esclaffant d’un soleil toujours au zénith, bien au contraire celui-ci fut le plus touché par la tempête s’avérant être des plus ravageante que le monde ninja est connu. C’était un 16juin en l’année 1990, un jour particulier pour la famille Sawako, famille des plus banals, heureuse, comportant quelques ninjas, tous réunit en ce jour dans un étrange bâtiment aux murs blanc éclatant et aux langages médical incompréhensible. Parmi les nombreuses gouttelettes déferlant sur le sable blanc devenue boue les cris strident d’un bébé firent leurs apparitions, des exclamations jaïssèrent alors, seul enfant à naitre en ce jour, quel merveille qu’un nouveau membre face sont apparitions dans cette famille…pourtant ce temps était un signe qui ne voulait qu’une seul chose, que ce nouveau-née n’avais rien à faire dans ce monde ! Malheureusement personne ne s’en préoccupa, les ténèbres envoyèrent alors un autre signe bien plus terrifiant, quelques secondes passèrent, à peine les lèvres de la mère de jeune fille, prénommé Sata, prononcèrent un mot indiquant son souhait de nommé son enfant, mais déjà celle-ci mourut d’une fin étrange. Les yeux regardant dans le vide, avide de toute sensation, la bouche ouvert d’où s’échappa un filet de sang d’un rouge vif rare, c’est ainsi ivre morte sur un lit d’hôpital que son père, tantôt reflétant le bonheur et la joie de vivre par un sourire écarlate, plongea dans sa propre haine. Le monde haïssait Aya dès sa naissance, dès sa naissance Aya haïssait le monde !

2• Les années bonheurs

Le 20juin 1990, devrais-je plutôt dire quatre jour qu’Aya était née fut le jour où elle pu enfin découvrir le monde extérieur. Après de longue réflexion où l’insouciance hanta le cœur de son père, Keito, il décida enfin de se consacré à la responsable de la mort de la femme qui lui avait fait découvrir l’amour et qui il y avait peu de temps déjà hantais son corps tout entier, mais aussi la personne qui lui rester de celle-ci…sa fille, qu’il prénomma Aya en l’honneur du souhait de son épouse. C’est donc un homme rongé par la tristesse et son passé que la jeune fillette revu après plusieurs jours passer sur un lit aux draps blanc à l’odeur de la lavande. Mais trop jeune elle ne fit guerre attention et fut trainer sur des épaules tremblotante qu’elle fut porter le long d’un chemin, observant pour la premier fois le ciel bleu lapis lazuli imposant, le soleil au zénith et le sable blanc réchauffant les pieds. Ce chemin menant a une cabane de bois isolé du centre du village, sa maison. Son enfance se passa comme toute enfance, l’absence de sa mère fut comblé par l’amour de son père qui sacrifia vie, travaille et temps pour sa seul fille.

C’est en 1994 que celui-ci remarqua que les gènes de Sata, la mère d’Aya coulait dans les veines de la jeune fille, et le don du chakra et du pouvoir de tous ninja encré son sang. Se fut lorsque celle-ci rentra de l’école, poursuivit par un chien qui n’était pas bien gros mais qui aboyait sans cesse et dont la langue pendait dans le vide recouverte d’u filet de bave, scène quelques peu amusante, qu’Aya finit par s’énerver voyant son père rigoler de cette arrivée mouvementé, le chien la rattrapa bien vite mais énerver et déjà vider d’énergie la main frêle de la fillette émit un bleu des plus étrange du chakra. C’est ainsi que la jeune femme arriva à l’académie des ninjas en plein milieu de l’année, pas bien douée pour la concentration la jeune fille du pour se faire accepté faire en sorte de faire rire. Et sa marcha, ces notes déconcerté son père mais elle revenait toujours accompagnée d’un sourire sincère et écarlate au coin des lèvres, populaire dans l’académie elle fut apprécier et eu des amis des plus profiteurs au plus fidèle. N’ayant jamais connue sa mère la jeune fille ne fut guerre en manque d’elle, son père lui procura l’amour nessecaire. Un an passer à l’académie fut une de ces meilleurs années, comblé d’amour et d’amitié il lui manqua son avenir, c’est donc pour son père qu’elle se fit son propre emploi du temps, le lundi elle travaillerait à l’académie tous comme le jeudi et le samedi, les autres jours elle s’amuserait. C’est ainsi que ces notes furent irrégulière et que son professeur se rendit compte de sa capacité d’analyse d’image bien plus supérieur à la moyenne.

Les années s’écoulèrent ainsi, par des jours d’amusement, pour ces résultats scolaires des jours particuliers son père lui offrit un chat qui fut nommé Senshi. Aya et les animaux se familiariser étonnement vite, et Senshi ne brisa pas la règle. Très vite les moments prévus pour la détente devinrent des moments de jeu et de promenade, mais un soir où le beau temps régna par des éclairs foudroyants et un bruit grondant la fillette fut triste d’apprendre que son chat venait de s’enfuir. La jeune femme courra après celui-ci mais bien trop lente et guerre endurante elle finit par seulement crier son nom, Senshi. Seulement à sa plus grande surprise les gens parlèrent d’un homme prénommé Senshi, un ninja expérimenter tous comme elle, et apparemment prometteur dans le domaine ninja. Déçu Aya rentra chez elle…bredouille. Malgré cet incident elle continua sa vie qui s’avéré être mouvementé, elle fut la fierté de sa famille malgré ces aptitudes de ninja apparemment prometteuse mais qu’elle laissa bien vite de coter. Un nouveau ninja dans la famille Sawako, seulement le 22juillet 1998 les membres de cette famille célèbre par Aya disparurent chacun leurs tours, laissant derrière divers souvenirs que Keito s’empressa de récupéré, tous assassiner. Le malheur roda pour cette famille alors dite…maudite.

3• La colère de l'enfer

Ces belles années où la joie de vivre, la jeunesse, l’amour ou encore l’amitié entait le cœur de la jeune femme énerva les ténèbres. Comment la fille maudite pouvait avoir elle aussi le droit a des sentiments humain et généreux, il fallait la punir, et ce fut la pire des punitions qui soit pour la jeune femme. Au plus grand plaisir des profondeurs de l’enfer.

Le 6octobre 1999, le soleil était cacher…la pluie tombait à grand flot et les nuages noirs emplissaient le ciel la veille pourtant encore bleu. La sonnerie de l’académie retentit dans un son strident a vous percez les tympans, les enfants se couvraient sous l’épaule de leurs parents toujours souriant malgré le beau temps, Aya elle resta dehors attendant souriante son père. Mais après plusieurs minute d’attente elle constata qu’il n’arriva pas et que déjà son corps tous entier fut dans un état pitoyable, elle courut donc sous la pluie battante, sous les regards d’amertume tournée vers elle. Le spectacle fut tragique, lorsqu’ elle atteignit sa petite demeure fais de simple bois, la porte des plus banals avait été « décoré » d’un rouge vif éclatant et presque éblouissant malgré l’obscurité, un symbole y était ancré : « LP ». La maison était entièrement close, les volets fermé, toutes les portes fermer a double tour, seul la porte d’entrée parut entrouverte, mais aucune lumière n’était visible de l’intérieur. Malgré la peur qui pris part de son corps la jeune femme avança, le cœur battant à grande vitesse un grincement fut émit lorsque sa main heurta la porte et la poussa. Avant même que sa main tremblotante put atteindre l’interrupteur permettant ainsi de rétablir la luminosité, elle trébucha, sur un fluide liquide et éclatant. La jeune fille n’eut pas besoin de luminosité pour voir son père, vider de tous organe, les yeux plongés dans le vide, gisant sur le sol…inactif et vider de toute vie. Son pouls s’accéléra, mais déjà malgré la peur paralysant son corps elle avait pris ces jambes à son coup…en ce jurant de retrouver l’origine de ces initiale « LP » et de tuer le responsable. Fuyant…malgré la pluie, le vent et tous autres obstacles des plus élaboré au plus simple…les ténèbres avait réussit, sa vie était devenu brusquement rempli de tristesse de haine de colère ou encore d'une envie de vengeance méconnaissable, les larmes prirent possetion de son corps...sa vie n'était que larme, quelque chose venant alors qu'on ne le veut pas, essayant en vain de s'accrocher pour finir par tomber et s'écraser...où balayer d'un revers de main.

4• Une drôle de rencontre

Tuer…pourquoi ?...père ?...pourquoi ?...mort ?... « LP »…Vengeance ! Tous se bouscula dans la tête de la jeune fille, du haut de ces neuf ans elle vécu la mort de son père avec une grande intensité. La seul chose qu’elle put faire c’était courir…courir…et encore courir, les mots qui se bousculer dans sa tête ne pouvait être décortiqué que déjà un autre arriver, les larmes qui emplissaient ces yeux descendait bien vie le long de sa joue pale. Que c’était-il donc passé ? Et pourquoi courait-elle ? Pour échapper aux assassins déjà partis ? Il ne lui restait plus rien, la fin était proche, elle irait dans un de ces orphelinats ou dans une famille d’accueil loin de tous se qu’elle avait encore en sa possession, son village, ces amis et sa passion pas demeure ! Mais il n’en fut rien, ces jambes courraient à une allure qui paraissait inhumaine, ces larmes qui coulais à flots se mêlait aux multiples gouttelettes s’affalant sur le sable blanc boueux. Les cris perçant produisaient un son des plus stridents. Des secondes s’écoulèrent…des minutes…des heures peut-être, ce qui est sur c’est que son endurance jusqu’à maintenant quasi inexistante se révéla grande car l’aube se leva…et pourtant le drame c’était produit la veille même. Son corps lui cria de s’arrêter, mais pourquoi, c’était trop tard ? Etait-elle déjà morte ? Même ces larmes ne parvenaient plus à venir emplir ces yeux, il n’y avait plus de larme, il n’y avait plus rien ! Enfin l’énergie eut disparu en sa totalité, ces jambes tremblotantes firent des appels de douleurs insupportable, s’écroulant sur le sable blanc, son corps tout entier s’avéra être dans un état déplorable. La douleur infliger et la haine la paralysa…c’est donc dans le froids, sous une pluie battante, sous le regard triomphant des ténèbres qu’elle s’évanouissait, morte de fatigue.

Combien de temps c’était écouler ? Des heures certainement…peut-être même quelques jours. Le ventre fébrile de la jeune fille criait famine, lorsqu’une crampe lui décocha un vomi il ne fut que de l’eau…sachant que son heure approcher Aya décida de mourir sans douleur, elle réussit donc avec peine à se rendormir, malgré les douleurs hantant son corps tout entier.

Lorsqu’elle se réveilla de plus belle, à sa plus grande stupeur, elle ne fut plus ronger par la solitude, en effet une très étrange chose se frotter a ces cotés, formant ainsi une boule d’une tendresse attendrissante. Aux couleurs variés, chaude, comme du quelques fin traits noirs, le reste plus visible était d’un orange se tournant légèrement vers du rouge. Il était la, contre son ventre vide et crisper de douleur, pourquoi ? Serait-il un être envoyer par son père ? Ce qui était sur est que le beau temps était rétabli, le soleil était de nouveau à son apogée et le sable redevenu ce qu’il était autrefois…une matière douce et délicate, d’un blanc rare. Revoyant son père à travers cet être qu’était ce tigrou Aya le prénomma Keito…en souvenir de l’être qui l’avais à jamais éduquer et donner l’amour dont elle avait toujours rêvé. C’est grâce a Keito qu’elle décida de profiter de sa vie…en quelques sortes pour assouvir sa vengeance certes, elle retourna donc au village en toute discrétion, afin de prendre les choses essentielle à la survie, du vol certes mais fait avec une telle habilité que sa en fut presque applaudit. Profitant pour bruler sa demeure elle s'en alla loin, et aira beaucoup d'année dans le désert, retournant parfois dans le village de Suna afin de pouvoir se nourrir, c'est ainsi qu'elle se consacra a un entrainement et qu'elle découvrit avec grande stupeur l'aptitude exceptionnel de Keito...un tigre a premier ordinaire qui se révéla lui aussi doter du pouvoir merveilleux des ninjas, le chakra. Se fut sa plus grande force, elle s'acharna des journée entière sur un entrainement intensif, et appris la dur lois du désert: chacun pour soit, les être vivant ayant la malchance de sa trouver sur son chemin furent tous tuer les uns après les autres, son caractère titubant et souriant se changea brusquement en caractère mystérieux, renfermé et froids, le sourire du coin de ces lèvres, si apaisant dans sa jeunesse se fit d'une grande rareté, et elle se promis de sourire lorsqu'elle tuera l'assassin de son père avec ces propres mains, avec comme seul indice: "LP" elle irais traverser le monde a sa recherche et le retrouverais, tel était et est son souhait le plus chère...la vengeance coule dans ces veines, tous comme sa liberté!

•Texte rp:

Un beau jour, sous un soleil d'été, dans l'interminable matinée de l'enfance de la jeune Aya, un homme se présenta devant le portail de la maison de la famille Sawako. Le vieillard, qui ne semblait pas avoir de nom, comme les autres homme, avait vraiment piètre allure avec son pantalon aux genou rapiécés, ses chaussures dépareillées qui bâillaient lamentablement, sa tunique de laine à manches longues nouée autour de sa taille à l'aide d'une corde, et surtout son capuchon constellé de taches de boisson et de relief de nourriture, qui faisait un drôle d'effet dans cette partis du monde où l'on ne portait guère ce genre d'accoutrement, mais qui plaisait particulièrement à Aya, avec ces bavolets sur le dos, les épaules et la poitrine. Seul son manteau paraissait relativement neuf. Les cheveux blancs du vieux conteur étaient coupés presque à ras, tout comme sa barbe. Il avait des yeux rieurs, d'un bleu profond, qui reflétait une éternelle jeunesse et une malice abyssale, dans un visage aux traits durs, pour ainsi dire anguleux, qui ne trahissait rien de ses origines. Il n'avait pas l'air de Konoha ou de Kiri, ni d'Oto ou encore de Taka. On aurait dit qu'il était issu d'une race humaine depuis longtemps disparue. Le conteur revenait de temps à autre au village caché du vent, où il était toujours le bienvenu. C'était en vérité un vagabond, un déraciné qui vivait sa vie en racontant des histoires. Lesquelles histoires n'étaient pas toujours nouvelles, bien sûr, mais il y avait comme de la magie dans la façon très particulière dont il les racontait. Il évoquait le roulement du tonnerre ou le souffle du zéphyr. Il arrivait à prendre la voix d'une dizaine de personnages simultanément, et il imitait si bien le chant des oiseaux que ceux-ci venait écouter ce qu'il disait. Quand il se mettait a hurler comme un loup, tous ceux qui l'écoutaient sentaient leurs poils ce hérisser sur leur nuque, et il leur mettait au coeur une froidure qui n'aurait pas reniée les rigueurs de l'hiver sunien. Par sa bouche, on entendait mugir le vent et crépiter la pluie, et même, chose plus miraculeuse encore, tomber les flocons de neige. Les meilleurs histoires, évidemment, le vieil homme les gardait pour après le dîner, cet ainsi qu'il fut cordialement invité a dîner dans le petit cabanon de la famille Sawako. Chaque regard était braqué sur lui, le repas qui lui était présenter était digne d'un roi, il s'en régala comme personne. Lorsque le mets fut enfin terminé, il se leva subitement et entraîna son auditoire dans un monde magique, le père d'Aya s'empressa alors de demander une histoire sur les dieux, souriant le vieil homme surnommé « vieux loup solitaire », fit vibré le son de sa voix.

« Écoutez, dit-il, de sa voix riche et qui portait, le récit des temps anciens où les Dieux créèrent le monde et les mers et les terres aride, puis il lancèrent les étoles dans le dais nocturne et ils placèrent le soleil et sa femme, la lune, dans les cieux pour donner la lumière au monde. Alors les Dieux firent que la terre donne le jour aux animaux, et que les poissons éclosent nombreux dans la mer, et que les oiseaux fleurissent dans le ciel. »

L'histoire n'était pas nouvelle pour Aya, évidemment, tout le monde la connaissait dans cette partie du monde. Mais si elle lui était familière, elle ne l'avait jamais entendu raconter de cette façon. Son imagination s'envolait, il croyait voir les Dieux eux-même arpenter le monde en ces temps vagues et brumeux des premier age de la terre, et un frissons le secouer chaque fois, qu'elle entendait le nom interdit d'Akito. Elle écoutait de toute ses oreilles le conteur décrire comme chacun des Dieux avait élu un peuple. Aya jeta un oeil à la foule, tout le monde était suspendu à ses lèvres. L'histoire se termina sous les yeux ébahit et admiratif des autres, qui s'empressèrent de l'applaudir après un moment de silence. Lorsque les crépitement du feu dans la cheminée se dissipèrent, le vieux loup solitaire rejoignit Aya qui s'en allait déjà dormir, sous l'ordre de son père. Il énuméra les nombreuses qualité que possédait ses vagabonds, plus connu sous le nom de nukenin en ces temps ninja.

Un rugissement sonore à en couper le souffle interrompit se souvenir qui paraissait si réaliste. En effet, une silhouette arpenta le désert aride délimitant ainsi le village de Suna qui n'était déjà plus qu'un point noir derrière la jeune femme qui poursuivait le vent. Sa silhouette fine et svelte était celle d'une reine, elle n'était guerre seule dans ce désert aride avec comme seul repère des étendues de sable a des kilomètre à la ronde. C'est avec ce vieillard qu'elle surnommé par la suite sire loup qu'elle découvrit ébahit les diverses avantages d'un nukenin. C'est avec cet homme qu'elle ensigea pour la première fois de récupérais toute sa liberté, mais elle n'en eut le courage que lorsqu'elle découvra le corps gisant de son père... Cela faisait maintenant plusieurs année qu'elle vivait au jour le jour, qu'elle marchait sans savoir où aller, où son destinct la guidé, où le vent la menait. La jeune femmme erait principalement dans le désert, mais en ce jour d'été la chleur était plus pesante et abondante que traditionellement, elle décida donc d'entreprendre un chemin indifférent a la quête d'un endroit verdoyant, où la faune et flore était aussi abondant que la chaleur en ce jour et où le doux murmure de l'eau était perceptible.

Ecoutant le sifflement du vent elle s'en alla, suivit de son compagnon le plus fidéle, Keito. D'une carrure imposante et d'une allure révélant sa musculature il pouvait néanmoins faire preuve d'une affection sans pareille. La marche fut longue avant d'apercevoir enfin un signe de vie, autre que la poussière de sable émise par leur pas, malgrè le temps mis a marcher sans pose aucun signe de fatigue telle que des tremblements, de la sueur dégoulinant sur son frond détendus, rien de tous ne fut visible. C'est sans une certaine modestie qu'elle disait que depuis qu'elle était devenu une nukenin son endurance ainsi que sa vitesse c'était doublé. Un petit nuage de fumée blanchâtre fit son aprition dans le ciel, dessinant ainsi les doux contours du soleil dèjà a son apogée, les Ides de juillet était a leur comble. La jeune femme s'enfonça peu à peu dans la nature qui apparut en abondance, le sable était subitement inexistant et le vent chaud de tantôt envoler. C'est des sons appréciable et une nature à la faune abondante qu'on acceuilla Aya dans cette endroit encore inconnue, sur ces traces et toujours aux aguets, Keito qui semble néanmoins faire preuve de plus de compation face a cette beauté pourtant si naturelle. La verdure devenue peu à peu apaisante, les murmures des animaux encore invisble était bercé par le doux murmure de l'eau, non loin de là une cascade fut a porter de vue, pris par la soiffe la jeune femme s'approcha avec une crainte a peine perceptible. Son reflet se refléta dans l'eau tous comme le soleil, donnant un coter iréelle a cette beauté, une étrange sensation envaissit la nukenin lorsqu'elle déposa sa main dans cette eau transparente et fluide. Avant même qu'elle put profiter une seconde de plus de ce paysage elle fut interomput par un bruit ne faisant pas partit de se décore.