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 Zuko Teikiatsu [Édit de fiche]

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MessageSujet: Zuko Teikiatsu [Édit de fiche]   Zuko Teikiatsu [Édit de fiche] Icon_minitimeMer 1 Oct - 3:05

Je ne refais pas mon personnage, je me contente de mettre sa fiche à jour, puisque ça fait un bon moment qu'elle a été faite, tout de même =)





Nom: Teikiatsu

Prenom: Zuko

Age: Bientôt 17

Organisation: Akatsuki. Native de Konoha.





    Physique : 1 mètre 60, 44 Kg. Taille tout à fait normale pour une jeune fille, qui plus est une ninja. Dans les normes, Zuko ne s’est, en fait, jamais distinguée des autres de par son allure. Elle a tout de la jeune fille normale, ni cheveux d’une couleur flamboyante, comme Sakura, ou de courbes aussi volubiles que Tsunade-baba. Cheveux bruns portés longs, une frange au front, et yeux marron sombres. Et, pour tout dire, cette ‘’normalité’’ l’enchante. Elle aurait détesté venir au monde avec des cheveux verts, ou un truc de la sorte. Avec s’qu’on voit à Konoha, qui sait s’qui aurait pu lui tomber dessus… De plus, elle ne se trouve pas particulièrement laide, alors elle ne se plaint pas. Elle n’est pas particulièrement formée et, même si elle a des courbes, on ne peut pas dire qu’elle ait une grosse poitrine, ou les hanches vraiment larges, un détail qui la dérange pas mal, puisqu’au moindre tour de ventre de trop, elle peut sembler aussi plate qu’une planche à pain. Elle prend donc garde à sa silhouette.. à son plus grand damne, elle qui est une grande amante des plaisirs gustatifs. Côté vêtement, elle a peu à peu abandonné son style simple et éclairé pour des habits généralement sombres, sans freiner sur les accessoires. Chaînes, gants et bas résilles, vêtements souvent courts et serrés.. à l’exception des pantalons noirs et trop larges, ceints à la taille. En soit, un style assez provoquant, souvent très osé. Mais le plus souvent, elle couvre le tout de sa cape uniforme de l’Akatsuki. Elle porte toujours à la taille ses deux sabres minces, un sur chaque hanche. Sous l’uniforme, ils passent totalement inaperçus.


    Moral: Suite à sa capture à Konoha, Zuko a beaucoup changé, cet épisode l’ayant particulièrement marqué. Sans vouloir se l’avouer à elle-même, elle a perdu confiance envers ses coéquipiers, qui ont mystérieusement disparus alors qu’elle avait plus que jamais besoin de leur présence. Elle en a gagné une grande méfiance envers ses frères d’armes eux-mêmes, mais pas seulement eux; le monde entier lui semble beaucoup moins sûr qu’il l’était avant. Elle-même n’a-t-elle pas tuer son compagnon de toujours pour son simple sursit? Tout ça lui faisant comprendre que certaines valeurs peuvent en surpasser d’autre, et que l’affection n’est pas suffisante pour s’assurer la fidélité de quelqu’un.

    Voila donc. Elle a beau toujours apprécier ses frères d’armes, elle ne peut plus tirer autant de sûreté quand à leur présence et leurs intentions. Elle est aussi plus sérieuse qu’avant. Moins immature, moins gamine. Elle prend peu à peu conscience des réalités de la vie et, du même coup, apprend à s’en protéger par ces quelques changements de comportement.

    De plus, à son retour, elle a eu le déplaisir de réaliser que de nouveaux membres s’étaient incrustés à l’intérieur de l’Organisation; ceux-la, elle n’est pas exactement désagréable avec eux, mais elle les méprise quelque peu, n’aimant pas les voir creuser leur place ainsi, peut-être de peur de perdre la sienne? Et le fait qu’elle ne croise que très peu de membres qu’elle connaissait avant ne fait que renforcir ce mépris. Que leur était-il tous arrivés? Étaient-ils tous morts? Ça Expliquerais au moins pourquoi ils n’étaient pas venus à Konoha.. Mais elle refuse d’y croire avant d’avoir des preuves.

    En général, elle n’est pas la plus violente de l’organisation, ce serait même tout le contraire. Assez gentille, quand on parvient à franchir sa barrière de mépris, elle peut même devenir attentive et adorable envers ceux à qui elle tient vraiment. Il n’empêche que pour se rendre jusque là, il faut vraiment le vouloir, parce qu’elle ne s’ouvre pas à n’importe qui, la petite.

    Elle reste perplexe quand à l’ascension de Madara au pouvoir, elle qui avait accordé toute sa confiance et son respect à Pein. Elle n’en est pas au point de s’opposer ou de se rebeller, mais la disparition du Dieu d’Ame la travaille beaucoup intérieurement. Comme plusieurs, elle aimerait beaucoup savoir où il est passé.. Et pareil pour les anciens membres, principalement Hidan, Sakumi et Deidara. Elle s’est peu à peu mise à penser qu’ils auraient pu tous déserter, suivant Kami-sama, peut-être vers Fuantei? Elle n’en sait encore rien, et refuse toute rébellion avant d’en être certaine. En attendant, elle se fie plus sur Konan que sur Madara pour obéir; si la femme approuve, alors elle fera s’qu’on lui demande. La présence de la bleue lui confère une certaine sûreté, puisqu’elle était l’assistante de leur ancien maître.

    Pour le reste, elle est souvent plutôt tranquille, connaît plusieurs phases de déprime et de reculement, surtout ces temps-ci, et se pose d’innombrables questions sur ce qui avait pu arriver à ses anciens confrères. Elle n’est donc probablement pas très attrayante pour tous, mais il n’empêche qu’elle fait de son mieux pour s’impliquer dans l’Organisation. N’est-ce pas ce qu’elle a toujours souhaité; d’en faire parti?


Dernière édition par Zuko Teikiatsu le Mer 1 Oct - 3:54, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: Zuko Teikiatsu [Édit de fiche]   Zuko Teikiatsu [Édit de fiche] Icon_minitimeMer 1 Oct - 3:08

    Histoire : Zuko est née de la génération de Naruto. Lee, Sakura, Tenten, Shikamaru, c’est sa tranche d’âge. Elle passe toutefois plus inaperçue qu’eux, et ce depuis sa plus tendre enfance. Pourquoi? Parce qu’elle était timide. Affreusement timide, et elle n’abordait pas les autres. Elle ne se faisait donc pas d’amies et finissait toujours oubliée au fond de la classe, à l’école. À force, cette solitude l’a un peu dégoûtée des plus populaires du groupe. Dès l’âge de sept ans, elle partie les hostilités avec Ino, qu’elle considère depuis comme une vraie peste. Et encore, là, c’est pour être polie. De plus, comme elle ne réussissait pas très bien à l’école. Ce n’est que bien plus tard qu’on remarqua une légère obstruction des tuyaux intérieurs, qui empêchait son chakra de circuler par endroits. C’la créant un déséquilibre dans son apprentissage, elle dû recommencer l’examen de passage à quelques reprises avant de parvenir à contrôler mieux ce handicap. De plus, elle a toujours été un pied dans la Genjutsu. Empotée, elle ne veut même plus entendre parler de cette forme d’art ninja, par orgueil. Elle est surtout portée de vers le Taijutsu pour l’attaque, et se sert de son chakra, affinité feu, pour la défense et les bloques. Zu’ se bat avec deux katanas minces, qu’elle peut utiliser en même temps, ou bien n’en utiliser qu’un seul. C’est une escrimeuse, et elle se débrouille d’avantage avec les armes longues qu’avec les kunais et shurikens.

    Voila, maint’nant qu’les quelques précisions sont faites, viens le temps de la vraie histoire. À sa sortie de l’école ninja, Zuko fit sa formation pour le stade de chuunin avec deux jeunes ninja de sa classe, Mikuzu et Satoshi. Malheur s’en fut, dans un moment d’inattention de leur sensei, Satoshi fut abattu par l’ennemi, ce environs trois mois après leur sortie de l’Académie. Dégoûté par la mort de son ami, Mikuzu quitta les rangs pour se lancer dans la restauration, et Zuko garda un profond traumatisme de cette mort. En fait, c’est de là que lui vient son besoin de protéger continuellement les autres. Suite à cet épisode, on tarda à lui confier une nouvelle équipe, et elle ne participait donc plus aux missions. Condamnée à s’entraîner à Konoha alors que les autres gagnaient en expérience, elle sentit bientôt cet esprit rebelle l’envahir. Pourquoi ne se souciait donc pas plus de son cas? Les examens chuunin approchaient à grands pas, et à ce rythme, elle n’aurait jamais atteint son cota de mission et ne pourrait donc pas participer.

    Un jour, alors qu’elle s’entraînait à l’escrime dans une vaste clairière, le cri déchirant d’une bête mourante la fit frémir. Détournant aussitôt son attention, cette amante de la nature n’écouta que son cœur et, fonçant à travers la foret, finit par tomber sur le cadavre ensanglanté d’un bel oiseau de proie, semblable aux aigles messagers, mais plus petit. Tout près, un nid, et à l’intérieur, une boule de plume abandonnée à elle-même. Plus pas inconscience que par générosité, car cet animal aurait pu être porteur de dangereuse maladie, elle choisit de soigner le pauvre piaf. Quatre mois plus tard, à peine, l’oiseau dévoilait un magnifique plumage tirant entre le bleu-gris et le brun. Un faucon, qui semblait la considérer comme sa mère. Un peu comme Akamaru avec Kiba. Sauf que, contrairement au chiot, l’oiseau n’était pas utile au combat. Entre temps, on avait enfin consenti à joindre à son équipe de nouveaux élèves. Hélas, c’était trop tard. La date de l’examen venue, on lui annonça qu’ils ne pourraient participer que la session suivante. Cette révélation eu don de la mettre hors d’elle. Elle avait travaillé fort, malgré l’absence de missions. C’était injuste… Dès l’hors, une idée c’était mise à germer dans son cerveau. Aidée par les méd-nin, elle se lança dans l’art de la guérison, en sachant qu’elle en aurait besoin, bientôt. Ainsi, tout en continuant sa progression à l’épée et au Taijutsu, elle apprit à soigner ses blessures et celles des autres. L’attaque du village par Orochimaru fut une occasion de tester ses capacités en soignant un certain nombre de ninjas blessées, gravement ou non. Toutefois, finir comme ninja guérisseur n’était pas son but. Il lui fallait autre chose. Quelque chose qu’elle avait longtemps préparé.

    Et voila que l’occasion s’offrit. Un beau matin, ensoleillé, magnifique, on annonça à tout le village que le petit géni, la fierté de l’Académie, le grand Sasuke Uchiha avait déserté pour rejoindre ze snake en personne. Rassemblant aussitôt son oiseau, ses provisions et ses armes, Zuko attendit que les équipes affectées à la mission de ramener le fuyard partent. Et c’est alors que, dans la plus grande discrétion, et dans l’ombre de la désertion de Sasuke, elle quitta le village à son tour. Il faudrait plusieurs jours pour remarquer son départ, d’une part parce que le village était déjà agité, et de l’autre parce qu’elle était toujours passée inaperçue. Libre elle était, libre elle voulait restée. Et pour ça, il faudrait lui trouver une communauté. Elle était trop jeune, trop inexpérimentée pour survivre seule. Et, aussi ambitieuse qu’elle était, elle avait déjà choisit sa nouvelle ‘’famille’’. Après tout, on disait le plus grand bien d’Akatsuki dans son village. Inconsciemment, bien sur. Oh! Cette organisation était hais à Konoha, mais combien de fois avait-elle entendu vanter la force de ces Nukenin sans pitié?

    Dépensant toute son énergie, toutes ces forces pour retrouver ces déserteurs de différentes nations, elle tenta à plusieurs reprises d’attirer l’attention sur elle, souvent sans succès. Usant autant de ses charmes que de sa force, elle fit connaître son nom autour des villages les plus pauvres et les plus faibles, attendant, priant pour qu’un jour, on vienne la repêcher. Et ce fut le cas. Un beau matin. Pluvieux, sombre… Deux silhouettes, deux seules. Elles l’avaient emmené avec elles, lui avaient expliquées qu’elle était trop jeune, qu’ils étaient déjà complets… Elle serait apprentie. Mais qu’importe? Elle avait réussie. Alors âgée de 14 ans, elle eut le temps de se perfectionner auprès d’eux, accentuant sa force et son contrôle, dans le but de remplacer un jour un des membres tombé au combat, bien que, peu à peu, cette possibilité la réjouisse de moins en moins à mesure qu’elle s’attachait.

    C’est un an plus tard qu’elle vit son ambition récompensée, lorsque deux membres d’Akatsuki furent lancés à sa rencontre. Dressés debout devant elle, complètement enroulés dans leur large cape, l’un petit, l’autre immense, ils semblaient attendre. Dans sa poitrine, le cœur de la jeune femme battait sans rythme, à une vitesse folle. Le moment pour lequel elle avait si longtemps lutté : faire ses preuves devant Akatsuki. La jeune femme fit un pas vers les deux hommes, et remarqua que le plus grand des deux reculait pour se mettre en retrait. Elle aurait donc à affronter le nabot. Enveloppée par l’ignorance que lui obligeait son jeune âge, elle se sentit soulager. Combattre contre ce tas de muscles ne l’aurait pas amusé. Elle ne tarda pourtant pas à déchanter. À travers les frêles bandelettes qui pendaient du chapeau de l’homme, elle pouvait apercevoir deux yeux, des yeux vermeils, terrifiants. Itachi Uchiha. Le Nukenin le plus célèbre de Konoha.
    Ce fut comme si son cœur loupait un battement. Malgré tous les efforts, elle ne se sentait pas de taille contre cet assassin. Si faire ses preuves incluait le vaincre, alors elle était fichue. Mais hors de question de s’enfuir.

    *Autant profiter de l’effet de surprise.*

    De l’hésitation, elle passa aussitôt à l’action, et fonça droit sur Itachi, en dégainant son épée. Arrivé tout près, elle étendit la jambe droite le plus loin possible vers l’avant, et lança son bras vers l’adversaire. La lame effilée ne fit pourtant qu’effleurer la tenue du jeune homme. D’une retraite rapide, Zuko ramena les jambes ensembles et replia son poignet, ramenant l’arme devant elle pour bloquer de justesse un kunai, un coup simple envoyé probablement pour testé ses réflexes. Bondissant de nouveau à la charge, elle para à plusieurs reprises, feintant et visant la tête, pour pivoter et frapper vers le tronc. Son arme déchira légèrement l’étoffe noire à plusieurs reprises, mais l’Uchiha bloquait et évitait avec doigté. Zuko décida donc de changer sa stratégie. Elle prit cinq bons mètres de recul et planta sa lame dans le sol. Puis, usant cette fois des ressources qu’on lui avait enseignée à l’Académie, plia les genoux, s’écrasant au sol avant de tendre tous ses muscles d’un seul coup. Ainsi propulsée en un bond dans les airs, elle leva le bras droit, le poing fermé, à l’exception de deux doigts, ceux-ci recourbés en forme de griffe. Yoippari kougeki. La feinte de l’oiseau nocturne. C’était une technique de Taijutsu qu’elle avait développé elle-même. C’était de Tori, son faucon, qu’elle s’était inspirée. Ainsi, comme le rapace fondant sur sa proie, elle rétracta le bras, puis le projeta vers le visage de l’Uchiha, enfonçant ses deux doigts dans les yeux de l’homme. Sans attendre de voir le résultat, elle replia le corps et envoya son genoux gauche frapper sous le menton de son adversaire. Cet enchaînement devait, normalement, ce terminer par un coup de pied au torse. Mais, alors que la Teikiatsu croyait dur comme fer à la réussite de sa technique, le corps d’Itachi se fondit en une volée de corbac croissants. Figée d’horreur, la jeune fille comprit qu’elle s’était laissée prendre dans le Genjutsu du géni Uchiha et ce, sans même s’en rendre compte.

    Zuko plaqua les mains contre ses oreilles en entendant les croassement et les cris des oiseaux s’intensifier jusqu’à en devenir douloureux. Fermant les yeux, elle poussa un hurlement terrifiée, tout en essayant de bloquer l’accès de son cerveau au chakra, comme on le lui avait appris à Konoha. Il lui fallut beaucoup d’énergie pour s’extirper de cette technique et, lorsqu’elle parvint enfin à reprendre contacte avec la réalité, son corps en entier tremblait d’épuisement. Un filet de sang furtif perlait du coin de ses lèvres, et quelques gouttes vermeilles s’étalaient sur le sol. Écarquillant les yeux, l’adolescente n’eut le temps de voir qu’un flash noir, avant de sentir un poing lui percuter l’estomac. Crachant tout le sang qui emplissait sa bouche, elle s’effondra lourdement sur le dos, le souffle coupé. Alors qu’Itachi fondait de nouveau sur elle, elle croisa les bras pour amortir les coups, puis se releva vivement, malgré sa faiblesse, en s’agrippant à la tunique de l’Uchiha. Rassemblant ses dernières forces, elle replia le bras contre elle, avant de projeter avec force son poing fermé vers la joue du brun. Le coup fut paré facilement et, bientôt, les doigts fins de son adversaire entouraient solidement son poignet.

    S’attendant à se prendre un coup d’une incroyable violence, Zuko ferma les yeux et serra les dents. La douleur, la mort ne vint pourtant pas. Seule sa propre respiration affolée persistait, ainsi que des pas approchant.

    -Elle fera l’affaire?

    Entendit-elle prononcer par une voix rauque. Un froissement de vêtement répondit, indiquant qu’Itachi avait répondu d’un mouvement de la tête. Sa réponse? Zuko ne la connut jamais. Mais il faut supposer qu’elle était affirmative, puisqu’elle est encore vivante, à ce jour.

    Et c’est ainsi qu’elle devint non membre à part entière, mais apprentie de la célèbre Organisation criminelle Akatsuki, à laquelle elle finit par se vouer corps et âmes. Développant un esprit de camaraderie assez solide, et un respect sans égal pour le Dieu d’Ame, elle continua de progresser avec plaisir sous les ordres qu’on lui dictait, espérant pouvoir un jour franchir la barrière de son rang d’apprentie.

    Le temps de son initiation, l’Akatsuki resta très inactif, ne subissant aucun assaut de Konoha et n’en lançant pas plus. Elle eut donc tout son temps pour rencontrer ses frères d’armes, tissant des liens amicaux avec certains, et principalement avec Sakumi Tsukiyo, une autre apprentie un peu plus âgée qu’elle. C’est toutefois par un pur hasard qu’elle commença à développer une attirance plus forte pour l’un des membres à part entière; Deidara.

    Bien qu’elle n’eut que rarement l’occasion de le croiser, elle ne pu pas freiner cette attirance, probablement tout à fait normale pour quelqu’un de son âge, et du apprendre à vivre avec, en silence, sa gêne l’entravant grandement. Et c’est par un hasard encore plus grand qu’un jour, elle se retrouva de nuit dans une grotte, avec à ses pieds un Deidara blessé et épuisé, qu’elle soigna avec une tendresse camouflée. Forcés de regagner rapidement de repaire, le blond l’embarqua sur l’un de ses oiseaux d’argile, et ils franchirent ainsi une bonne distance avant de s’enfarger sur la présence d’un petit groupe de quatre ninja venus de Konoha. Comme ils surveillaient les alentours du repaire, les deux Akatsukiens mirent pied à terre et affrontèrent sans trop de problème les quatre hommes, de niveau plutôt mièvre. Surprenant, pour une troupe chargée d’une telle mission.. Mais les deux ninja se méprirent eux aussi quand à l’efficacité de la troupe, dont le chef se tenait à l’écart. Attaquant par derrière, le Jonin parvint à assommer Zuko, par surprise, avant d’être abattu par Deidara.

    Ce dernier prit soin d’arrêter l’hémorragie de sa consoeur avant de la soulever dans ses bras pour la ramener au repaire; quelques bonnes minutes de vol s’imposaient encore avait qu’ils soient arrivés. La Kunoichi eu donc tout le loisir de reprendre conscience en chemin, et lorsqu’ils se posèrent, elle s’était déjà relativement bien remise du choc. Et lorsqu’ils se séparèrent, ce fut sur une note romantique; un baiser.

    Il fut toutefois le seul, car peu après, Pein les réunit pour leur confier à chacun but, bague et mission. Une fois la sienne imposée, Zuko partit donc pour Konoha, qu’elle devait reprendre, à l’aide de son coéquipier et de la team Taka. Son plan? Aller s’excuser, auprès de Konoha et de l’Hokage lui-même. Jouer le rôle de l’innocente désolée, et reprendre sa place au sein du village.. Jusqu’à ce que les envahisseurs. Son vrai but? Saigner Konoha de l’intérieur. Sans même le savoir, le village de la feuille accueillit en son ventre une personne qui s’était bien décidée à les éliminer.
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MessageSujet: Re: Zuko Teikiatsu [Édit de fiche]   Zuko Teikiatsu [Édit de fiche] Icon_minitimeMer 1 Oct - 3:09

    Histoire, suite: Pourquoi tout a foiré? Elle ne le su jamais vraiment. C’est tout simplement arrivé : ses coéquipiers ne sont pas venus. Alors qu’elle attendait, de longues heures, à l’entrée de Konoha, revêtissent un costume d’ANBU emprunté dans le plus grand secret, elle ne reçut pas le moindre signe de vie de leur part. Elle décida donc d’aller voir à l’extérieur, certaine qu’elle les trouverais là-bas, quelque part autour du village, attendant un signe.. Mais non, rien. Niet. Et lorsqu’elle revint, ce fut pour se rendre compte que l’Aube avait ramené de nombreux gardes à la porte restée entrouverte. Ils l’accueillirent à bras ouverts, avant de la traîner jusque chez l’Hokage, qui exigea de savoir ce qu’elle faisait habillée en ANBU, tang qui n’était pas le sien. Voyant qu’elle refusait de répondre, ils en conclurent tous qu’elle cachait un plus grand secret.

    Ainsi fut-elle mise en taule, alternant semaines enfermée et séances d’interrogation douloureuse. Malgré tout, elle tenait. Avouer? Hors de question. Son dévouement pour l’organisation restait, malgré tout, intacte.

    Puis, comprenant finalement qu’ils n’en tireraient rien, ses bourreaux lui accordèrent quatre semaine de sursit pour parler. Sans quoi, ils la laisseraient simplement mourir de faim. Et ils tinrent parole, ne lui confiant que de l’eau, et laissant son estomac se plaindre. Au bout de trois semaines, la Teikiatsu n’en pouvait déjà plus. Son corps en manque de ressources ne faisait que réclamer à manger, et elle n’en dormait même plus. Mais aussi, plus elle avait faim, plus elle faiblissait. Et alors que l’occasion parfaite pour s’échapper s’amenait, à moins de trois jours de là, la jeune femme ne faisait que faiblir, en cherchant désespérément un moyen.

    Un seul prenait forme dans son esprit, mais elle se forçait sans cesse à le repousser, désespérément, espérant pouvoir trouver autre chose.. Mais rien n’y fit, et la veille de l’événement, cet à dire le tournois des génin, qui ne laisserait qu’un garde à sa cellule, Zuko s’y résolut. Avec elle, on avait enfermé son fidèle faucon, qui de toutes façons ne l’avait pas quitté d’un cheveu depuis son retour à Konoha. Tout aussi affaiblit et affamé qu’elle, il n’eut même pas la force de se défendre lorsque sa maîtresse en larme lui arracha la vie.

    Ce fut un énorme sacrifice, la jeune femme possédant l’oiseau depuis des années déjà. Toutefois, il avait été nécessaire et utile. Elle attendit la première occasion, et réchauffa de son mieux la viande crue d’un katon, la carbonisant presque. Puis elle mangea. C’était infect et plein de nerfs et de noeud. Mais n’était pas en état de jouer les difficiles, elle avala tout ce qu’elle pu malgré son dégoût. Le soir même, ses forces refaites, elle attendit fermement son gardien et, lorsque celui-ci fut assez près, lui passa les bras autour du cou, le ramenant sur les barreaux de sa prison pour l’y assommer violemment.

    Attachées à sa ceinture, les clés la narguèrent pendant une vingtaine de minutes, et il lui fallut de nombreux efforts pour pouvoir les récupérer. Toutefois, une fois ceci fait, il ne restait pratiquement rien pour s’opposer à sa fuite. Elle prit aussitôt ses jambes à son cou, quittant Konoha à la hâte. Seulement, comme il fallait s’en douter, son gardien ne comata pas bien longtemps en lança des troupes à sa poursuite. Par chance, très peux parvinrent à la rattraper. Sinon, elle n’aurait certes pas eu la force de tous les affronter. Si la viande du volatile l’avait remise sur pied, elle n’avait toutefois pas d’effets magiques, et la Kunoichi restait faible. Aussi se fit-elle considérablement blessée par deux Chunin. Mais ils furent aussi les seuls à la retrouver.

    En pas moins de cinq jours de marche rapide, la Teikiatsu parvint à regagner le repaire de l’Akatsuki, à la porte duquel elle s’effondra, à bout de sang et de forces. Probablement serait-elle morte là, tout simplement, si on ne l’y avait pas récupérer pour la soigner…


    Test Rp :

Wrath a écrit:
    Ténèbres étaient maîtres dans ce sinistre décor, parfois illuminé le temps d’une fraction de seconde par un flash lumineux, qui s’accompagnait à tout coup des horribles mugissements du ciel. Des larmes, d’innombrables larmes glaciales et mortelles s’écoulaient dans une mélodie à la fois apaisante et si redoutable.. Effondré au sol, un corps faisait face à ce ciel de nuit, si triste et beau. Un corps inerte, impuissant, privé d’un bras, privé d’une jambe. Son sang se répandait sournoisement autour de lui, sans pour autant lui tirer le moindre gémissement, la moindre grimace. Rien ne comptait d’autre que ce point lumineux qui, entre la pluie, entre les éclairs mêmes, demeurait sans faillir. Sans un bruit, le corps tenta de remuer les doigts; effort qui resta vain. Son corps refusait obstinément de lui obéir. Pourtant, ça ne lui faisait pas peur. De nouveau, son attention se riva sur le point lumineux. Qui s’approchait.. Qui grandissait… Cette fois, sa gorge se serra. Toujours plus près, plus grand, plus clair.. Jusqu’à devenir bien trop précis. Un œil –humain- bien ouvert. Une simple pupille, aussi profonde, froide et redoutable que les abysses elle-même. Et l’œil se rapprochait toujours, se plissant légèrement, laissant deviner l’expression de joie sournoise qu’aurait eu un visage le portant. Et dans l’air, venu d’on ne sait où, retentit un rire, celui d’une femme. Une voix claire, et pourtant enrayée par l’âge, qui laissant entendre un gloussement démoniaque, cynique et victorieux.. Cette fois, le corps déchu sentit tous ses muscles se contracter et, dans un ultime effort, poussa un hurlement de terreur.

    Ses yeux s’ouvrirent en grands, alors qu’un unique gémissement franchissait la barrière de ses lèvres pour venir se perdre dans le silence du manoir. Incapable de bouger, l’Homonculus restait allongé, les couvertures repoussées à ses pieds dans l’agitation que lui avait valut son rêve. Un moment lui prit avant qu’il ne parvienne à retrouver un rythme de respiration normal. Alors seulement il se redressa pour se retrouver assis dans son lit, les doigts resserrés sur la couverture. S’qu’il avait vue ne pouvait être autre que ce que les humaines appelaient rêve. Songe sans importance, n’indiquant ni la vérité ni l’avenir. Ce n’était qu’une bête illusion de son esprit, et il devait se défaire le plus rapidement possible de l’étrange sensation de peur que lui avait laissé ce rêve.

    Wrath secoua vivement la tête, chassant de son visage les longues mèches noires humectées de sueur qui y collaient grossièrement. L’enfant s’apaisa à coups de grandes respirations, et songeait à retourner au sommeil lorsqu’un bruit extérieur à sa chambre le fit sursauter. Aussitôt, ses yeux se fixèrent sur la porte, dont le minime espace entre son extrémité et le sol laissant filtrer quelques rayons de lumière très faibles, loin d’être inhabituels; les torches restaient souvent allumées, même de nuit.

    Par contre, l’Incarnation de la Colère pouvait aussi très clairement percevoir les bruits non grossiers, mais même plutôt discrets, de pieds foulant lentement le plancher. À en juger par l’intensité du son, ils étaient tous proches, mais allaient en s’éloignant. Un instant, il songea à se lever afin d’aller vérifier de qui il s’agissait. Mais il n’avait pas mis un pied sur le sol que son initiative fut bloqué par une simple pensé : et si c’était Dante? À la simple idée de tomber face à face avec elle dans les couloirs, en pleine nuit, l’Homonculus abandonna aussitôt l’idée de sortir de sa chambre.

    Il retourna s’asseoir sagement sur son lit, aux aguets, l’oreille tendue et prête à recevoir tout son qui pourrait se rendre jusqu’à lui. Il n’eut pas à attendre trop longtemps, car bientôt, le grincement familier à l’ouverture de la large porte d’entrée résonna jusqu’aux dortoirs. Wrath se précipita aussitôt à la fenêtre, le front appuyé contre la vitre, guettant l’ombre qui ne devrait pas tarder à sortir du manoir, et donc, à être à portée de vue.

    Comme si il avait peur d’être entendu, Wrath retenait sa respiration, les yeux grands ouverts pour être certain de ne rien rater. Lorsque la silhouette sortit enfin, éclairée quelques secondes par la lumière que laissait filtrer la porte ouverte, il pu enfin reconnaître Xelha et poussa un soupire soulagé. Sa satisfaction se muta toutefois bien vite en doute. Qu’est-ce que l’Impitoyable faisait-elle, dehors, à cette heure de la nuit? D’ordinaire, on dort à cette heure.

    Aussi, le jeune Colérique, sans se poser plus de questions, se dirigea décidément vers la porte de sa chambre, d’où il sortit en silence. Ses pieds nus ne produisant que très peu de sons, il se lança en trottinant vers l’entrée du manoir. Pitiless ayant refermé derrière elle, l’Homonculus dû donc rouvrir, produisant de nouveau cet affreux grincement. Il ne fit toutefois qu’entrouvrir la porte et ne la referma pas derrière lui, déposant simplement l’appui contre le volet de l’autre porte.

    Puis, d’un bond, il s’élança sur les traces de l’Impitoyable, profondément encrées dans la terre molle et boueuse. Marchant prudemment dans les bois sombres, Wrath ne parvint pas à rattraper l’Homonculus, mais lorsqu’il atteignit la fin de la forêt, il pu clairement distinguer la forme féminine de Xelha, se dirigeant vers Dublith. L’Incarnation de la Colère avait cessé d’avancer après avoir atteint le dernier arbre, derrière lequel il s’était appuyé, observant la progression de sa sœur d’arme.

    Puis brusquement, il tourna des talons et fonça en sens inverse, galopant à pleine vitesse vers le manoir, comme si il avait la mort aux trousses. Ses pieds nus étaient couverts d’une boue froide et de sang, puisqu’il lui arrivait fréquemment de s’érafler sur une branche ou une roche. Les plaies se refermant toutefois presque instantanément, il ne restait en souvenir d’elles que les quelques gouttes vermeilles.

    Lorsqu’il rejoignit enfin le lieu d’habitation de Dante, il se glissa de nouveau entre les deux portes qu’il avait laissé entrouvertes et, sans même réaliser qu’il laissait derrière lui de grossières taches boueuses, il escalada les marches quatre à quatre et couru dans le couloir qui longeait les chambres. Avisant celle qu’il cherchait, il raidit les jambes, freinant sa course d’un geste beaucoup trop brusque. Il se retrouva donc assis par terre, déstabilisé, mais ne le remarqua qu’à peine.

    Déjà, ses mains se tendaient pour empoigner solidement la poignée de porte, qu’il ouvrit d’un coup, pénétrant d’un coup dans la chambre.

    « Gluttonny?! Gluttonny, magne-toi!! Xelha est partie, elle s’en va sans nous!»

    Hurla-t-il, à présent tout près du de l’Incarnation de la Gourmandise, les deux mains appuyées sur son épaule massive et le secouant avec force pour tenter de le réveiller. Il ne comprenait pas le geste de l’Impitoyable, mais son départ avait fait naître en lui une drôle d’impression; comme si, par le simple départ de sa sœur d’arme, son existence c’était retrouvé menacée. Il avait peur, et il ignorait pourquoi. Mais il savait au moins une chose : Xelha ne devait pas s’en sortir comme ça.

    Aussi, dès qu’il fut certain que Gluttonny était bel et bien réveillé, il fit demi-tour et, sans même attendre son confrère, refit le même trajet, sortant une nouvelle fois du manoir, retrouvant à nouveau le couvert des arbres, fonçant vers Dublith. Sa respiration se faisait haletante et son corps, peu habitué à un tel effort, commençait à protester faiblement. Malgré tout, il ne ralentissait pas le moins du monde.

    Lorsqu’il arriva à la frontière de Dublith, il ralentit le pas, réalisant qu’il ne savait ni où Xelha était passée, ni où elle comptait aller… La retrouver était pourtant d’une importance capitale. Wrath se retourna, lança un regard vers la forêt, espérant en voir sortir l’Homonculus de la Gourmandise. Puis, il s’enfonça dans les étroites rues de Dublith.
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MessageSujet: Re: Zuko Teikiatsu [Édit de fiche]   Zuko Teikiatsu [Édit de fiche] Icon_minitimeSam 11 Oct - 22:28

ok pour moi
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